Réalisations et créations sur mesure
Chaque projet est une histoire visuelle
Du graphisme professionnel aux portraits personnalisés, des illustrations patrimoniales aux dessins de bijoux, mes créations naissent d’une écoute attentive de vos besoins et d’une passion pour le détail et les couleurs.
Ici, découvrez un aperçu de mon travail, entre commandes sur mesure et inspirations artistiques.
Les portraits personnalisés
Pour célébrer vos moments précieux.
Portraits numériques, illustrations de lieux de mariage, cartes d’invitation… Chaque visuel est conçu à partir de vos photos et de vos histoires, pour un rendu unique et chargé d’émotions.

























Du graphisme pour les professionnels
Identité visuelle, supports de communication, projets clé en main.
De la création de votre logo à la mise en page de vos supports, en passant par des campagnes visuelles complètes, chaque projet est pensé pour refléter votre image de marque et atteindre vos objectifs.

























Les illustrations patrimoine
J'ai eu envie de mettre en valeur les charmes et les singularités du patrimoine des villes avec des illustrations singulières. Les déclinaisons sont donc infinies, Nous déterminons ensemble les lieux emblématiques que vous souhaitez mettre en lumière et je les illustre.
Allons ensemble faire un Tour(S), ailleurs.

Située au cœur de Tours, la villa Rabelais est un hôtel particulier du XIXe siècle. Il abrite aussi les équipes de l’association Tours cité internationale de la gastronomie en Val de Loire, l’Institut Européen d’Histoire et des Cultures de l’Alimentation et le Pôle Alimentation de l’Université François-Rabelais.

Un peu d'histoire :
Après l'inhumation de saint Martin à Tours le 11 novembre 397, plusieurs édifices avaient couvert son tombeau : une petite chapelle, construite entre 437 et 477, puis une première basilique consacrée en 470 ou 471. Ce dernier édifice plusieurs fois incendié et restauré jusqu'à son délabrement final, Hervé de Buzançais, trésorier de Saint-Martin, décida la reconstruction d'une grande basilique romane au même emplacement ; elle fut consacrée le 4 juillet 1014. Bâtie sur un plan comparable à Saint-Sernin de Toulouse, elle ne comportait à l'origine que trois tours, deux en façade et une à la croisée du transept. Dans un second temps, la construction de deux autres tours aux extrémités des bras du transept fut décidée, tour Charlemagne au nord et tour du Cadran (ou tour Gibert) au sud.




Ces vieilles maisons appelées « maisons à colombages » se composent d'une charpente en bois et d'une structure en brique.
On comprend pourquoi aller prendre un verre sur une place entourée d'un patrimoine classé mérite d'être considéré comme lieu emblématique à Tours !

Construite entre 1896 et 1898, elle offre des façades en pierre de tuffeau adossées à une belle structure métallique. Les deux grandes verrières de sa façade lui apporte légèreté et transparence.
Surmontant les pylônes, quatre statues allégoriques représentent les grandes villes traversées par cette ligne ferroviaire : de gauche à droite, Limoges, Bordeaux, Toulouse et Nantes.
Ici la version nocturne.





Mais le 15 août 1883, un incendie ravage le théâtre. Seuls les murs et la façade résistent. Un concours municipal est lancé en 1884 pour sa reconstruction, et c’est le projet du jeune architecte tourangeau Jean-Marie Hardion qui est retenu, sous l’œil expert de Charles Garnier (architecte de l’Opéra de Paris). Après six années de travaux, le nouveau théâtre est inauguré le 23 novembre 1889. Aujourd’hui, il reste un symbole de résilience et de passion artistique au cœur de Tours.

Cette passerelle relie le nord de la ville au niveau du Château de Tours, au sud au niveau du Quai Paul Bert.
Ici la version nocturne.


L'ancienne église collégiale Saint-Martin de Tours, qui datait essentiellement du XIe siècle, fut désaffectée, vandalisée et transformée en écurie en 1793, puis démolie à la suite de l'effondrement des voûtes en 1797, seules deux tours étant conservées. La basilique actuelle, nettement plus modeste, a été construite entre 1886 et 1902 dans le style néo-byzantin par l'architecte Victor Laloux (inauguration dès 1890).



Construite entre 1896 et 1898, elle offre des façades en pierre de tuffeau adossées à une belle structure métallique. Les deux grandes verrières de sa façade lui apporte légèreté et transparence.
Surmontant les pylônes, quatre statues allégoriques représentent les grandes villes traversées par cette ligne ferroviaire : de gauche à droite, Limoges, Bordeaux, Toulouse et Nantes.



Aujourd'hui, la Ville de Tours veut baptiser un jardin en son nom, comme symbole de la lutte contre la maltraitance animale.

Ici la version nocturne.




